Bonjour,
"Si j'ai bien tout compris Freud" comme disait quelqu'un, le délégué dit aujourd'hui "la sirène n'est pas assez forte". Bien !
Alors c'est simple :
- depuis quand l'USC est-elle en ProD2 ?
- combien de délégués ont émis la même remarque ?
- quel doit être le niveau sonore de la sirène d'après la LNR, la FFR ou qui sait d'autre ?
- à quels critères doivent répondre les sirènes sur les stades de rugby ? Y-a-t-il une norme ?
Pour juger de la réalité des propos du délégué :
- faire effectuer par huissier de justice le contrôle sono-métrique des sirènes sur les autres stades du Languedoc-Roussillon, ainsi qu'à Domec, un jour de match.
Pour éviter ou limiter les problèmes futurs :
- fixation par la LNR d'un seul type de mélodie des sirènes sur les stades de rugby, (en réalité deux types, puisque 2 sirènes), ainsi que de la durée minimale pendant laquelle cette fameuse sirène doit retentir;
- fixation par la LNR du niveau sonore des sirènes, niveau contrôlé en divers points du terrain toujours un jour de match.
Seule double conséquence déplorable à l'incident de samedi 22 février :
- si la LNR donne match gagné à l'USC = jurisprudence = contestations futures,
- si la LNR n'inverse pas le résultat = jurisprudence pour le corps arbitral qui pourra dire "je n'ai pas entendu la sirène" ou "la sirène est trop faible".
Situation surprenante malgré tout pour le match de ce samedi 22 février :
- aucun des 7 arbitres n'a entendu la première sirène, (tout au moins c'est ce qu'ils avancent)
alors que :
- l'entraîneur de La Rochelle (situé à côté des 5° et 6° arbitres et de l'arbitre de touche) vient féliciter un des entraîneurs de l'USC,
- certains joueurs rochelais restent assis sur la pelouse,
- certains joueurs de l'USC manifestent leur joie (voir Bancroft et Etcheverry sur les photos).
Comme pour beaucoup de choses en France on fait des lois et encore des lois, mais on n'est pas capable d'aller au fond d'une loi ou de l'améliorer et l'adapter à la situation qui évolue sans cesse.